Ils ont courriellé :

 Odile H. :

Je suis actuellement absente et serai de retour le 31 Mai.
Je vous répondrai dès que possible.
I am out of the office and I will be back on May 31th.
I will reply as soon as possible after my return.

 Janet K. :

La photo est très belle, mais si tu me permets mon avis, je recommanderai que tu changes ta photo, elle est un peu "effrayante" ... alors qu'en réalité, tu es si beauoooooooo !
L'univers n'est pas toujours calme !
J'te parle pas de l'univers, j'te parle de ta bouille

 Christophe N. :

Dieu s'est offert un Miro dans le ciel de Villacoublay.
("Il a les moyens Dieu, quand même!!! Pendant qu'il décore son salon, il ne voit pas la misère d'en bas!!!"
Le syndicat des peintres en bâtiment)

 Michel C. :

Et dieu dans tout çà ?

 Jean-Claude R. :

La Force arrive, enfin !

 Patrick L. :

A.F.P.NEWS //  L'INFO QU'IL VOUS FAUT /++++++
Contrairement a ce qui a été dit dans l'un de nos récents communiqués concernant la fin du monde prévu pour le Vendredi 13 Mai dernier, A.F.P.NEWS, se devait d'apporter les précisions suivantes.
Malgré toutes nos précaution, nous avons été victime des frasques d'un de nos stagiaires sexagénaire en reconversion professionnelle, un dénommé Jo Lamurge, et toute la rédaction de A.F.P.NEWS vous prie d'accepter ses excuses et vous garantie qu'un tel incident ne se reproduira plus dans ses colonnes.
Selon toutes probabilités et en accord avec nos partenaire de Météo-France, nous sommes désormais en mesure de vous confirmer que la fin du monde tant attendu aura finalement lieu le 31 Mai à 12h10 pétante.
Notez néanmoins, pour ceux qui utilisent le nouveau calendrier 2006 de "La Poste", que cette date correspond donc maintenant au 1er Avril;( l'heure ne change pas)
Pour A.F.P.NEWS,
Nicolas Mulot
L'Ami des belles lettres, et des Postiers.

 Anne-Marie G. :

Petit garçon, dans mon Palais, j’étais le plus heureux…
Ce n’est pas difficile : j’étais le Bienvenu, le futur Roi de toute la Cour, et également, Celui de mes parents.
Et pourtant….
Un je ne sais quoi… me lancinait l’Âme… en secret…
J’ai grandi comme les autres enfants de mon âge, ai joué avec eux, remporté plein d’images : la vie me souriait, inébranlablement, j’étais sage.
Et pourtant….
Un je ne sais quoi… me laminait l’Âme… en secret…
Ma vie était riche ! Si vous saviez ! Pas un seul instant, je ne m’ennuyais !
Du Ciel, je connaissais, les somptueuses couleurs, et m’y promenais, jamais seul, avec un infini bonheur…
Et pourtant…
Un je ne sais quoi… m’étreignait l’Âme…en secret…
Un jour, je l’ai confié à mes parents.
_ Papa, et Maman, il me manque quelque chose, en dedans… Je ne saurais dire ce que c’est… Je suis comblé… Mais je manque… peut-être… de vérité ?…
Mes parents n’ont pas compris. J’avais tout. Ils le savaient bien, ça. Ce n’était qu’une impression, et un petit caprice, d’enfant… Cela me passerait, avec le temps…
Mais cela n’est pas passé.
Alors, je suis allé consulté les Grands Sages, du Palais.
_Grands Sages, il me manque quelque chose, en dedans… Je ne saurais dire ce que c’est… Je suis comblé… Mais je manque… peut-être… de vérité ?…
Les Grands Sages ont souri.
_Tu manques surtout d’années, Bel Enfant ! Fais-nous donc confiance, pour tout t’enseigner… Cette impatience te passera, avec le temps…
Mais elle n’est pas passée.
Alors un jour, car c’est vrai, j’étais pressé, j’ai quitté, le Palais, de mes Parents, et déserté l’Enseignement de leurs Grands Sages.
Je me suis plongé, dans la Souffrance, des petites gens, et de la vie, comme dans un bain de Jouvence, et un coin de Paradis, et ai ainsi commencé mon atteinte de la Boddhéité.
Car en réalité, c’était cela, qui me manquait : rater.
Alors, ce Ciel, Magnifique, de mon Enfance, a enfin pu se déchirer…
Cela m’ a fait mal , il est vrai, ô combien ! ! !
Peut-être ne pouvez-vous pas… même, l’imaginer… tant de moi, vous avez une image, de Beauté, et de Sérénité…
Mais j’ai infiniment souffert !… si vous saviez !…
Oui.
Mais de cette DECHIRURE, est né le plus beau Cadeau, de l’Eternité : LA VIE. LA VRAIE. LA MIENNE.
Pas celle qui m’avait été racontée, ni enseignée.
La mienne. Celle qui m’avait taraudé, emporté, attiré, questionné, manqué… Celle qui mène tout droit, oui, à L’ILLUMINATION.
C’est la raison pour laquelle, mes amis, j’ai photographié ce Ciel… si riche…
traversé par un éclair, qui brûle…
…et lui ai donné le nom de… Déchirure.
Car… qu’on le veuille… ou non… l’Illumination… passe… par la Souffrance… de la Déchirure.
Je te dédie, et t’offre, cette Jeunèse, Daniel : elle est Tienne.
Et infiniment, je te Remercie, d’avoir, le 23 septembre 2006, lors de ma remise de Gohonzon, à Sceaux, trouvé les mots, si simples, et si justes, pour m’ouvrir ma propre Voie, à moi. Ces mots, qui furent les tiens, je suis venue, ici, les exprimer, avec… j’espère… quelque Doigté…
INFINIMENT MERCI.
Le 28 décembre 2006